Les doigts pour réapprendre à conter...

"Je garde la main ouverte pour accueillir toute opportunité, et 'coup de pouce' de l'Univers, plutôt que le poing fermé et serré de rage ou de désespoir."

Ces mots sont de moi ; ils ont pris naissance sur le clavier de mon ordinateur, il y a de cela quelques heures. Au cours d’une conversation avec quelqu’un dont tu ne connais pas le nom. J’étais en pleine ébullition sur un projet dont peut-être plus tard je te parlerai, et ils ont surgi au cœur de la conversation. Comme un pacte avec moi-même, une déclaration de Paix intérieure, à durée indéterminée pour la réussite et la concrétisation de ce beau projet. Celui pour lequel pour l’instant je me sers de cobaye, avant d’oser le déclarer de grande utilité, et à disposition du plus grand nombre. Une offre de coaching, comme il me plait de mettre en œuvre, à partir d’une idée d’une certaine complexité, qu’il est bon de tenter de simplifier. Histoire de se rendre la vie meilleure plutôt que ressasser en boucle des soucis et d’interminables pensées.

Une question d’organisation aussi afin d’y voir plus clair et adoucir sur le long terme des passages difficiles comme chacun(e)s de nous peut être amené à traverser, car en vérité, « On ne sait jamais ! »

Pourquoi pas aussi en faire aussi une proposition d’atelier, de ces ambiances qu’il me plait d’imaginer dans lesquelles les participant(e)s réapprennent à se faire confiance et se livrer, exposer leurs problèmes rencontrés et se quitter le cœur plus léger, avec des débuts de solutions à la clef, qui peuvent parfois modifier un trajet, changer ce que l’on pensait être une destinée.

Finalement cela me rappelle à quelques détails près mon ancienne vie de sapeur-pompier, avec les sirènes et les lumières bleutés effacées, moins de stress et un peu plus d’intimité.

En posant ces mots ce matin, j’observe attentivement mes deux mains sur le clavier. Elles restent ouvertes malgré le rythme qui leur est imposé de retranscrire sans fautes de frappe la dictée de mon cœur au reste de l’Humanité. Décidément qu’il est beau, qu’il est bon, qu’il est bien d'oser se réinventer, la main tendue et le cœur en paix. »

Nicolas Goudenove